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| LA MALAISIE FAIT SA PLACE SOUS LE SOLEIL AFRICAIN | |
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| Si la Chine reste le partenaire le plus en vue du continent, il n’en demeure pas moins que d’autres pays émergents de l’Asie jouent des coudes pour s’imposer dans un continent qui est considéré comme l’avenir de l’économie mondiale, de par l’importance de ses matières premières, mais aussi de la jeunesse de sa population. Discrète, mais pourtant incontournable, la Malaisie fait partie de ces nouveaux partenaires du continent africain.
Sans chercher à se positionner en opposition frontale aux anciennes puissances coloniales ou aux États-Unis d’Amérique, comme peut le faire la Chine, sans envoyer des armées de travailleurs manuels au potentiel d’intégration faible, la Malaisie propose une autre forme de partenariat moins intrusif et ne bouleversant pas les équilibres sociaux ou le tissu productif local. | |
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| ASHOK VASWANI L’INDO-GUINÉEN | |
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| Alors que l’on reproche aisément à la diaspora chinoise en Afrique d’être dans un entre-soi économique sans off rir d’opportunités aux travailleurs locaux, les investisseurs indiens ont toujours eu une approche diff érente. Appréciés par les pays africains pour leur capacité à créer des emplois dans le secteur privé, ils sont les moteurs d’une économie animée par d’autres valeurs, plus entrepreneuriales et plus en phase avec les standards de l’économie de marché. | |
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Grand dossier |
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L’INDE POURRAIT-ELLE DEVENIR LA PREMIÈRE PUISSANCE MONDIALE ? |
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Damien Durand © PAYS-EMERGENTS.COM |
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Selon un rapport de la Citi Private Bank,
en 2050, l’Inde ravira à la Chine la place
de première puissance économique
mondiale. Les deux géants asiatiques
devraient alors représenter à eux seuls
environ 35 % de la population mondiale.
Et si le leader de la planète à l’aube de 2050 n’était pas celui qu’on croit ? Alors que la presse économique et grand public annonce depuis des années l’avènement de la Chine, un rapport de la Citi Private Bank, rendu public, a jeté un pavé dans la mare. Selon cette institution financière, et avec toutes les pincettes nécessaires à l’analyse des chiffres, ce sera bien l’Inde qui, en 2050, ravira la place de première puissance économique mondiale. Elle détrônera la Chine qui devrait prendre la tête en 2020, mais ne resterait donc à cette place qu’une trentaine d’années. Les deux géants asiatiques devraient représenter à eux seuls environ 35 % de la population mondiale à cette date.
Sans aller jusqu’à des perspectives aussi précises, le Fonds monétaire international a lui aussi reconnu que la croissance de l’économie indienne était maintenant durablement installée, et que, sauf cataclysme, le deuxième pays le plus peuplé de la planète allait amorcer un rattrapage éclair de son retard de développement.
Mais l’Inde, c’est aussi le paradoxe des pays émergents, poussé à son paroxysme : une société en plein essor économique, mais où les stigmates de la misère sont présents un peu partout sur cet immense territoire. Une économie qui affiche une croissance insolente dans un pays aux infrastructures souvent obsolètes, où 50 % de la population n’a accès ni à l’eau ni à l’électricité, et vit parfois dans des
bidonvilles. Un pays dans lequel l’image de « l’ingénieur indien » sert de miroir aux alouettes pour masquer la réalité d’une population encore peu qualifiée, et d’une administration parfois corrompue.
L’Inde, c’est également un défi à l’échelle mondiale : celui de l’environnement et de la consommation d’énergie. L’accès à l’eau et aux hydrocarbures, le
développement, encore modeste, de son parc automobile, et le défi de l’urbanisation à venir (60 % de la population vit encore en zone rurale), sont des questions qui, bien que prioritaires en Inde, concernent de fait le monde entier.
La perspective de voir la « plus grande démocratie du monde » devenir également la première puissance fait donc au moins autant de sceptiques que
d’enthousiastes parmi les spécialistes. La
complexité de l’Inde, son hétérogénéité, et la multiplicité des paradoxes qui la traversent en font un territoire plus complexe à décrypter que les autres grands pays émergents. |
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